Alors mon avis a moi, qui permettra peut-être de comprendre au moins un point vu malheureusement sans doute rare donc pas.hyper utile pour toi.
Je mets les point.e.s au meme niveau que c.a.d… chiantissime a lire. Pour faire pire, il faut des mots-en-eur.rice.
Iel c’est cool. Lae c’est chiant, ça induit en erreur, contrairement a léa que je trouve cool comme iel. Læ c’est sympa aussi mais je ne sais pas le prononcer. Les terminaisons en “aire” c’est presque top une fois habitué, je préférerait en “air” pour gratter une lettre.
Quand au français, magnifique langue de Molière , je pense qu’il faut en préserver au maximum le concept initial: un latin sinplifié ki sèrv de lang Frank univèrsèl, prinsipaleman oral kom tout lé lang, don on devrè éliminé lé-z-ajou dé skrib. Faut juste se réhabituer, mais ça simplifierait beaucoup l’apprentissage et la communication. Et ça rend mon avis moins valable, mais ça illustre au moins le point de vue pro inclusif anti certain trucs de l’ecriture inclusive.
Faut pas les mettre au même niveau, c’est pas un . c’est un · :-)
Et tout à fait d’accord sur la simplification de l’ortograf. Les gens qui trouvent ça dur d’assimiler un nouveau pronom simple et des abréviations nouvelles sont aussi ceux qui résistent à une simplification de la langue qu’on aurait du faire il y a longtemps. Faut choisir: soit on aime que le français soit complexe et alambiqué, et on devrait se réjouir d’un nouveau pronom et inventer de nouvelles conjugaisons bien galères avec des exceptions à ajoute aux Bescherelles, soit on simplifie ce putain de language.
Alors mon avis a moi, qui permettra peut-être de comprendre au moins un point vu malheureusement sans doute rare donc pas.hyper utile pour toi.
Je mets les point.e.s au meme niveau que c.a.d… chiantissime a lire. Pour faire pire, il faut des mots-en-eur.rice.
Iel c’est cool. Lae c’est chiant, ça induit en erreur, contrairement a léa que je trouve cool comme iel. Læ c’est sympa aussi mais je ne sais pas le prononcer. Les terminaisons en “aire” c’est presque top une fois habitué, je préférerait en “air” pour gratter une lettre.
Quand au français, magnifique langue de Molière , je pense qu’il faut en préserver au maximum le concept initial: un latin sinplifié ki sèrv de lang Frank univèrsèl, prinsipaleman oral kom tout lé lang, don on devrè éliminé lé-z-ajou dé skrib. Faut juste se réhabituer, mais ça simplifierait beaucoup l’apprentissage et la communication. Et ça rend mon avis moins valable, mais ça illustre au moins le point de vue pro inclusif anti certain trucs de l’ecriture inclusive.
Faut pas les mettre au même niveau, c’est pas un . c’est un · :-)
Et tout à fait d’accord sur la simplification de l’ortograf. Les gens qui trouvent ça dur d’assimiler un nouveau pronom simple et des abréviations nouvelles sont aussi ceux qui résistent à une simplification de la langue qu’on aurait du faire il y a longtemps. Faut choisir: soit on aime que le français soit complexe et alambiqué, et on devrait se réjouir d’un nouveau pronom et inventer de nouvelles conjugaisons bien galères avec des exceptions à ajoute aux Bescherelles, soit on simplifie ce putain de language.