La nouvelle économiste en chef à la direction générale de la concurrence a conseillé, par le passé, Amazon, Apple et Microsoft, de quoi faire craindre à certains qu’elle défende mal les intérêts européens. La France avait demandé à Bruxelles de revenir sur ce choix.
Il me semble aussi qu’il y a une profonde division qui oppose le Parlement et la Commission. Mais sincèrement j’ai aucun espoir qu’on parvienne à réformer les institutions.